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Publié : 18 décembre 2011

Année 2011

Création en juin 2011 de l’association Escale Estuaire de la Gironde, Guy Bardin a été choisi pour en être le Président à charge de constituer un bureau avec Jean-Michel Degorce, Jean-Luc Flipo et d’autres membres pour consolider l’équipe.

  • le 1er avril 2011 l’équipe du Seamen’s Club, "Escale Adour", de Bayonne demande à nous rencontrer, Jean Michel DEGORCE et Jean Luc FLIPO, chez les Pilotes de la Gironde à Bassens avec une délégation composée du Président du Pilotage de la Gironde d’un membre du Grand Port Maritime de Bordeaux et des Affaires Maritimes, Ils demandent de mettre en place un accueil pour les marins à l’exemple de Bayonne. l’équipe du Seamen’s Club, "Escale Adour", de Bayonne s’engage à aider (statuts). Le Grand Port Maritime de Bordeaux cherche un président pour l’association pour qui puisse faire le lien entre le port et nous. C’est le tout début de l’idée de faire quelque chose pour l’accueil des marins sur le port de Bordeaux.
  • A l’occasion de sa visite pastorale sur la rive droite de Bordeaux en mars, le Cardinal Jean Pierre RICARD, après avoir visité la zone industrielle, repart en disant" j’ai trouvé". Il n’a pas dit plus et quelques jours plus tard la Mission De la Mer était instituée à Bordeaux. On ne savait pas que la Préfecture avait demandé sa création .
  • Mise en place de la Commission Portuaire de Bien-être des Gens de Mer (décret OIT 2007). Parfois qualifiée de « Charte des droits des gens de mer », la MLC 2006 constitue le 4ème pilier du droit maritime, venant ainsi s’ajouter aux conventions plus techniques de l’Organisation Maritime Internationale (OMI) (MARPOL, 1973 ; SOLAS, 1974 ; STCW, 1978). Triple objectif de la MLC 2006 :

Une directive européenne du Bureau international du travail signée en 1987 et ratifiée par la France en 2007 préconise que : « des infrastructures et des services de bien-être doivent être fournies dans les ports et a bord des navires et des mesures doivent être prises pour assurer leur financement approprié ».

  1. Établir des conditions minimales de travail décent pour ce qui est de la quasi-totalité des aspects de leurs conditions de travail et de vie.
  2. Créer un instrument unique et cohérent qui intègre autant que possible toutes les normes relatives au travail maritimes et issues des conventions et des recommandations précédemment adoptées par l’Organisation Internationale du Travail (OIT).
  3. Assurer une concurrence équitable entre les armateurs et ainsi protéger les gens de mer de la dimension hautement concurrentielle inhérente au secteur maritime.
  4. L’armateur est donc celui qui, en acceptant la responsabilité de l’exploitation du navire, s’oblige à respecter les dispositions de la MLC, 2006.